Clever, cabinet de courtage et de conseil en assurance nouvelle génération, arrive sur le devant de la scène. Et il compte bien dépoussiérer le secteur en mettant l’accent sur le digital et l’agilité.
Fondé en 2022, il propose un accompagnement personnalisé à ses clients afin d’améliorer leur stratégie assurantielle. Le contexte actuel, marqué par de profonds changements technologiques et réglementaires, a aussi modifié les attentes des entreprises.
Et comme chaque cas est particulier, Clever a décidé d’innover en proposant un suivi sur-mesure de leurs besoins – ce qui signifie une expérience client exclusive et plus d’agilité.
Pour cela, le cabinet de courtage coconstruit avec ses clients leurs contrats d’assurance. Il commence par faire un état des lieux, puis, propose un schéma assurantiel. Il mène ensuite des recherches sur le marché afin de trouver les meilleures solutions, tout cela en privilégiant des outils dans l’air du temps et des process intelligents.
Clever fournit deux types de couvertures. D’abord, une assurance IARD globale où il accompagne actuellement plus de 75 entreprises. Puis, une assurance affinitaire commercialisée en marque blanche, où il est en relation avec des distributeurs, des opérateurs du secteur de la mobilité et de la plaisance ainsi que des constructeurs.
Le métier de courtier et le marché de l’assurance sont en pleine évolution à la fois réglementaire et digitale. C’est pour cela que nous avons choisi de créer Clever afin deproposer un accompagnement sur-mesure, agile, et en phase avec son temps.
Xavier Beaurin et Benjamin Robert, Cofondateurs de Clever
Le changement climatique et ses conséquences potentiellement dramatiques côté assurance. En Californie, c’est tout simplement le leader sur le segment habitation qui annonce se retirer du jeu.
Onde de choc sur le marché de l’assurance californien. Le 26 mai, State Farm, via un communiqué laconique, a précisé stopper une partie de ses activités dans l’État. L’assureur ne prendra plus de nouveaux contrats d’assurance habitation, que ce soit pour les particuliers ou les professionnels.
Il justifie sa décision par une augmentation historique des coûts de construction dans un contexte inflationniste, l’exposition grandissante aux catastrophes naturelles et les difficultés croissantes à