Qiti voit les choses en grand ! La jeune insurtech a en effet choisi Las Vegas pour dévoiler sa dernière initiative : l’ange gardien des travailleurs nomades.
Dans le cadre de sa première participation au fameux CES, l’insurtech niçoise annonce en effet le lancement de la « première assurance santé embarquée » au monde. Une offre boostée à la tech très innovante, qui se veut une véritable révolution mondiale dans l’univers de l’assurance santé.
Ainsi, 13 mois après sa création, la Niçoise poursuit sa fulgurante ascension. Son assurance santé embarquée s’adaptera en temps réel aux déplacements des nomades digitaux. Ainsi, dès qu’un assuré franchira une frontière, ses couvertures se mettront automatiquement à jour, en prenant en compte les spécificités de son nouveau pays d’accueil. Tout cela, grâce à une intelligence artificielle de pointe.
Qiti souhaite proposer une offre gratuite, accessible à tous, mieux et moins chère. Une protection au top pour préserver le pouvoir d’achat des travailleurs. Mais aussi leur permettre de vivre leurs rêves de voyages. Le marché est potentiellement immense, avec un milliard de travailleurs nomades annoncés à l’horizon 2035.
En présentant la première offre d’assurance santé capable de se mettre à jour automatiquement à chaque passage de frontière, comme une carte Sim, Qiti casse les codes et accompagne tous les travailleurs nomades dans la liberté de mouvements à laquelle ils aspirent… comme un véritable ange gardien, en toute discrétion.
Christophe Bremard, cofondateur de Qiti
En ce début d’année, on s’envole déjà pour le Brésil ! Alper, acteur bien connu de l’écosystème local, a fait main basse sur Me Sinto Seguro. Ainsi, le courtier vient de conclure sa 14e acquisition avec l’achat de cette insurtech. Cette dernière est spécialiste en expérience de distribution et en gestion d’assurance agricole.
Avec cette acquisition, nous voulons moderniser et étendre nos opérations et nos services pour différentes cultures. Nous souhaitons ainsi proposer de nouvelles solutions qui peuvent aider les producteurs ruraux, en fournissant des produits plus technologiques à l’écosystème agroalimentaire.
André Lins, vice-président Agro chez Alper Une tendance que l’on