L’IA générative offre un univers de nouveaux bénéfices potentiels aux entreprises. Toutefois, il y a aussi un revers à la médaille. Cette technologie s’accompagne de risques émergents, notamment en matière de cybersécurité.
SydeLabs, startup spécialisée dans les risques autour de l’intelligence artificielle, s’est penchée sur la question. Elle imagine ainsi des solutions afin de rendre les grands modèles de langage (LLM) sûrs, sécurisés et résistants aux attaques, aux abus et à la non-conformité. Celles-ci allient un red teaming et une protection en temps réel basée sur les intentions.
Le red teaming est une pratique consistant à se comporter comme des hackers. Les faux pirates élaborent des scénarios pour identifier les vulnérabilités des système d’IA. Il devient alors possible de prendre des mesures proactives en temps réel. Quant à la protection basée sur l’intention, elle agit comme un pare-feu sur les prompts en détectant s’ils cachent éventuellement un but malveillant.
Cette approche innovante a séduit les investisseurs. SydeLabs a en effet conclu un tour de table de 2,5 millions de dollars. La jeune pousse californienne compte utiliser ces fonds pour la recherche et le développement (R&D) et l’extension de sa gamme de produits.
Pula s’est imposée ces dernières années comme l’une des insurtechs incontournables du continent africain. La pépite kényane s’apprête à changer de dimension grâce à une nouvelle levée de fonds.
Pula vient en effet de récolter une jolie somme en Série B. Elle a aimanté 20 millions de dollars, qui vont l’aider à s’implanter durablement dans les marchés émergents en Afrique, en Asie et en Amérique Latine.
Fondée en 2015, Pula propose une assurance agricole destinée aux petits exploitants. Un produit qui leur procure une protection contre les pertes dues aux ravageurs des cultures, aux maladies et aux événements climatiques (inondations, sécheresse, précipitations extrêmes).
Pula