Bercy a tranché à la rentrée. Le ministère ouvre officiellement la porte à l’indemnisation des cyber-rançons. Cette décision a ranimé un débat chaud dans le milieu de l’assurance : faut-il payer ou non les fameuses rançons ? Les partisans du pour et du contre s’affrontent par médias interposés, sur LinkedIn ou dans les conseils de direction.
Alors que certains acteurs assument et militent même pour le remboursement des rançons, d’autres font le choix inverse. Chez Stoïk, la position est claire : ne pas payer les rançons. Le CEO de la jeune cyber insurtech, Jules Veyrat, nous a confié ses positions sur le sujet. Entretien avec un dirigeant qui souhaite accompagner la cybersécurité vers une nouvelle ère.
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