L’Allemagne de retour dans la course ! Et c’est en partie grâce à ELEMENT. L’insurtech berlinoise vient de boucler un deal de 21,4 millions d’euros. De plus, la startup rapporte avoir réalisé ses meilleurs résultats historiques depuis le début de l’année. Tout roule donc pour l’une des belles entreprises du secteur outre-Rhin !
Pour rappel, ELEMENT propose à ses clients de leur créer des produits clé en main. C’est un peu le Wakam allemand ! Avec des produits tels que Cloud Failure Insurance, Real Estate Purchase Guarantee ou encore All-Risk Cover, ELEMENT n’a cessé de démontrer sa force d’innovation. Avec cette nouvelle levée, l’insurtech va continuer sur cette voie.
ELEMENT utilisera les fonds nouvellement acquis pour étendre sa position sur le marché et intégrer de nouvelles catégories de produits dans son portefeuille. Plus important encore, nous continuerons à poursuivre notre objectif à long terme, celui qui consiste à éliminer des milliards de dollars de coûts inutiles sur le marché européen de l’assurance.
Dr Christian Macht , CEO d’ELEMENT
Cette opération nous confirme le réveil de l’insurtech allemande. Elle qui a été fort timide au premier semestre, voilà qu’elle se relance de manière spectaculaire ! L’Allemagne avait déjà affolé les compteurs avec la Série D de wefox la semaine dernière. Il faut dire qu’avec un montant de 400 millions de dollars, la pépite a réalisé le deal de l’année ! C’est donc officiel. L’écosystème allemand n’est plus à la traîne en 2022. Et nous sommes curieux de voir ce qu’il nous réserve à l’avenir.
Des licenciements en cascade déferlent actuellement sur la planète insurtech. Root, Lemonade, Policygenius, Next Insurance… Les pépites américaines ont été nombreuses à activer l’option « réduction d’effectif » ces derniers mois. Et, ainsi qu’on pouvait l’imaginer, la vague atteint aujourd’hui l’Europe. La semaine passée, Zego a ainsi annoncé sabrer 17% de son personnel. La nouvelle est tombée comme un couperet, par la voix de Sten Saar. Le CEO de la licorne britannique a confirmé que les réductions d’effectifs étaient devenues inévitables. « Nous ne ferions pas ce choix si nous n’avions pas déjà exploré d’autres options et si je ne pensais pas que